Olivier Boiral, Laurence Guillaumie et Patrick Provost

Il est malheureux de constater que la santé des populations et celle de la planète dans son ensemble semblent largement subordonnées à des intérêts économiques de courte vue, avec l’assentiment complice des pouvoirs publics qui se limitent à des promesses vite oubliées après les élections et à des actions superficielles qui ne perturbent pas l’ordre établi.