16 jan 2021 | Daniel Desroches, PHD et Thierry Lefèvre
Justifiée par une crise sanitaire sans précédent, la réaction de l’État québécois face à la COVID-19 a eu une ampleur qui contraste avec le peu d’attention accordée au dérèglement climatique, à la pollution et à la dégradation des écosystèmes. Alors que ces problèmes environnementaux ont déjà des impacts économiques considérables, l’absence d’anticipation chronique dont souffre l’État met en lumière des failles de gouvernance qui exposeront la population à de nouveaux périls.
Au point de vue institutionnel, la création d’une agence nationale de prévention des risques environnementaux permettrait de prévenir, et ainsi de mieux affronter collectivement, les crises liées aux dégradations environnementales.
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