9 oct 2020 | Daniel R. Rousse, ing., M.Sc.A., Ph.D.
Le constat (1 de 3) – Dans un article paru récemment dans Le Devoir, des collègues ingénieurs s’inquiètent à juste titre que nous ne prenons pas les changements climatiques suffisamment au sérieux.
Et ils demanderont à l’Ordre des ingénieurs du Québec de les «appuyer et de redoubler d’efforts dans la lutte contre les changements climatiques».
Je dis bravo! Car il faut absolument y réfléchir. Néanmoins, je m’inquiète.
Et cela réfère à la citation de Jean Rostand, qui teinte tous les cours que je donne : «Nous paierons trop cher le privilège d’être devenus des Dieux par la puissance, avant d’avoir mérité d’être des hommes par la sagesse».
Supposons que nous puissions remplacer demain l’ensemble de notre consommation d’énergies fossiles par des énergies renouvelables sans impact sur le climat. Serait-ce une bénédiction ou une malédiction?
Lire la suite sur le site du journal Le Soleil