11 mai 2020 | Une des autrices est Myriam Ertz
« Cette tempête passera. Mais les choix que nous faisons maintenant pourraient changer nos vies pour les années à venir », écrit Yuval Noah Harari dans le Financial Times. L’auteur du best-seller Sapiens, paru en 2014, n’a pas tort. Les crises qu’affrontent les sociétés sont en effet des « moments privilégiés » pour des transformations légères ou profondes.
De manière générale, toute crise déstabilise les grands courants intellectuels et idéologiques. Les crises exposent ou font ressortir au grand jour les limites d’un modèle : ce qui ne semblait pas de l’ordre du possible le devient soudainement.
L’analyse suivante des conséquences de la crise sur la transition écologique et sociale de nos habitudes a été réalisée par 15 professeurs d’université de différentes spécialités (comportement du consommateur, sociologie, marketing vert, management, tourisme, communication politique). La moitié des chercheurs sont affiliés à des universités québécoises et l’autre moitié à des universités françaises. La parité a également été respectée. Cette diversité de profils amène un regard novateur sur la crise de coronavirus que nous traversons.
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Écouter l’entrevue reliée à l’émission Style libre à Radio-Canada