29 avril 2020 | Thierry Lefèvre
Comme l’illustre l’Institut national de la santé publique (INSPQ), la science est une sage conseillère pour les gouvernements, notamment en cas de crise. Nous avons besoin d’un organisme équivalent pour les soutenir en matière d’environnement et de résilience.
Depuis le début de la pandémie, le gouvernement Legault fait appel à la science pour gérer la crise. Contrairement au président étatsunien, le premier ministre François Legault s’est dès le début appuyé sur les conseils du directeur de l’INSPQ, Horacio Arruda, et des scientifiques qui l’entourent. La science a été notamment sollicitée pour donner des prévisions quant à la propagation de l’épidémie.
Il ne se passe pas de journée où l’on n’entende pas parler des divers aspects scientifiques du coronavirus, de la maladie et de l’importance du recours à la science pour conseiller les politiciens. Il y a un éveil collectif sur le rôle que la science peut avoir pour contribuer positivement aux décisions politiques. Et pour cause, elle peut documenter, trouver des solutions et éclairer de manière objective les enjeux auxquels les sociétés font face. Elle peut aider à anticiper, sinon prévenir, les futures situations d’urgence.
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