Le “faible” impact du Canada n’est pas un prétexte à l’inaction

Print - copie

18 octobre 2019 | Thierry Lefèvre

« À l’occasion de la campagne électorale fédérale, Andrew Scheer et Maxime Bernier ont affirmé que les émissions de gaz à effet de serre du Canada étaient faibles à l’échelle mondiale, notamment en comparaison avec la Chine. Ils utilisent cet argument comme prétexte pour rejeter la responsabilité des changements climatiques sur les gros émetteurs. Cette position est-elle justifiée ? Que disent les faits ? »

Lire la suite sur le site du journal

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.